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COMPTE-RENDUS D'AG

Compte-rendu de l'AG 2018 à venir.... La prochaine est le dimanche 13 Octobre 2019 à 10h00 au Parloir.... Patience.

Voici le Compte-Rendu de l'AG 2018 par Jacques Thomas:

Retour sur l'Assemblée Générale de l'Association des Anciens Elèves du Lycée Carnot du 14
octobre 2018
(par Kristina Mogue et Jacques Thomas)

Dès 9h30, l'accueil était assuré dans la salle traditionnelle du Parloir par Claude Fabrizi et Kristina Mogue
autour d'un café et de quelques viennoiseries.
Avec un peu de retard, l'AG était ouverte par le mot du président René Petit :
*Henri Planson n’ayant pas souhaité renouveler son mandat, le C.A. a désigné René Petit pour lui
succéder au poste de Président, un honneur pour René. 5 réunions du CA ont eu lieu durant l'année,
avec une équipe très soudée à laquelle René rend hommage. Nous avons différents axes d'actions,
ceux-ci sont exploités par chacun comme on le peut selon notre ancienneté et notre engagement dans
l'association. Selon René, la tâche de Président n’est pas trop pesante, l'équipe est là.
* Au cours de l'année plusieurs projets ont pu être réalisés: parmi eux, des projets pédagogiques comme
Télémaque (ascenseur pédagogique, déclenchement d'une chaîne de travail, des élèves en appuyant
d'autres plus jeunes, travail de recherche commun de 80 élèves reçus au Parlement européen à
Strasbourg) ou Philanthropia pour les prépas (pour certains élèves ayant des difficultés d'adaptation
psychologique, une soixantaine d'intervenants grâce aux subventions, dont celle de l'association.)
Autres projets : mettre sur pied une expo patronnée par l'association dans l'esprit de l'ancien prix Vaclav
Havel, et associant les classes d’arts plastiques. Ou encore une expo-photo de Maurice Maton, ancien
professeur de russe du Lycée (des photos-Maton en quelque sorte !) qui possède entre 5000 et 6000
photos de Carnot. Un Carnot insolite à la mode du surréalisme belge.
En chantier également : le patronage d'un concert (initialement conçu avec d'anciens élèves des classes
musicales TMD mais qui pourrait être repris avec l'aide d’une musicienne.)
*Une réflexion est à mener sur le rôle de l'Association pour les jeunes sortants, concernant l'avenir
professionnel des élèves (comme dans les grandes écoles de commerce type Burgundy School of
Business mais à notre échelle).
*Sur le plan des sorties : celle du 15 novembre a été annulée faute de combattants.
La sortie oeno-culturelle de Beaune et Echevronne a été une pleine réussite. Félicitations à Jacques
Thomas et Claude. Visite de l’expo du sculpteur Michel Lucotte (bonne idée de Jean Libis que l'on
remercie vivement).
Il nous faut réfléchir au problème des sorties (distance ? Coût ?). Pour Claude, le problème c'est l'heure
de départ pour une sortie d'une journée. Exemple de Millau il y a 3 ans. Sans les gens extérieurs à
l'association, il n'y avait que 10 personnes (intérieures au bureau) . On s'oriente vers des sorties dans un
rayon proche.
En projet : sortie à Dole (mai 2019) avec visite de la Commanderie dont l'architecte, Brigitte Metra, a
participé à la création de la salle de la Philharmonie de Paris et a travaillé avec Jean Nouvel et trésors
culturels des siècles passés.
Hugues Demongeot va relayer l'idée de cette sortie auprès de l'association des personnels de Carnot (à
condition de faire ça durant une journée de week-end pour avoir un peu de monde.)
*L'association compte à ce jour 190 membres ou un peu plus.
René fait part des absents excusés et notamment M.Gey, Proviseur, absent pour raisons personnelles.
Le Rapport financier est présenté par Claude Fabrizi (cf. le détail ci-après).
190 membres / 2 démissions / 3 nouveaux adhérents / 1 associée nouvelle.
Cotisations : 1416 € / 18 retards / préjudice pour l'Association : 710€
A déplorer le décès du docteur Jack Rose.
Le Commissaire aux Comptes Hugues Demongeot donne son satisfecit au rapport présenté par Claude.

Renouvellement du CA :
Daniel Aymes, Michel Neveu, J-P Morel, René Petit, Bernard Depierre, Jean Libis, candidats sortants
sont renouvelés à l'unanimité.
Un nouveau membre fait son entrée au C.A. : Paul Pernette, professeur de physique au Lycée.
Bienvenue à lui.
Pas d'opposition .
Intervention du Président d'honneur : Bernard Depierre (cf. texte intégral ci-après).
Rapide présentation par René Petit qui le connaît personnellement depuis l'enfance puisqu'ils étaient à
l'école communale ensemble.L’ Invité d'honneur est ici pour nous parler d'un sujet qui lui tient à cœur : le
sport à Dijon.
Vous trouverez par ailleurs le détail de l'intervention de B. Depierre. Retenons sa conclusion : le sport
comme vecteur de cohésion sociale, espoir d'un vivre-ensemble parfait. “1€ investi dans le sport c'est
100 € économisés dans le social et 1000 € économisés dans la justice. “
Une vidéo, prêtée par la municipalité dijonnaise, complétera son propos et présentera la centaine
d'équipements sportifs de la ville.
Un débat suivra son intervention :
* avec J.Thomas pour souligner l'Importance du sport à l'école (inquiétude pour le budget du sport,
suppressions de postes).
* avec H. Demongeot sur les effets de mode dans le sport (ex. : effet coupe du monde).
Les sports collectifs sont plutôt en perte de vitesse au profit de sports individuels de pleine nature (coût de
la pratique / plus d'école le samedi / familles séparées)
* sur les subventions de la ville beaucoup attribuées au foot et moins aux autres sports (hand masculin
et tennis)
* sur l'importance du bénévolat (pour des sessions de formation / vie associative en difficultés)
* sur le budget de la ville pour le sport en 2018 : 11% c'est plutôt un bon budget. Par contre des
manques au niveau des équipements de quartiers, la patinoire, un nouveau Palais des Sports ?
Remerciements à Bernard et applaudissements.
Questions diverses
- H. Demongeot remercie l'association pour le soutien à Philanthropia.
- question sur une éventuelle conférence sur la vie associative et le bénévolat
- Retour sur le CA de Carnot : E. Revel souligne que M. Gey met toujours un point d'honneur à mettre en
valeur le rôle de notre belle association.
- idée émise d'inviter les délégués de terminales et d'hypokhâgne et de khâgne (Association des Elèves
de classes prépa.) à l'AG l'an prochain.
Reprise de l'idée de conférences sur les professions à l'usage des jeunes.
- question sur les résultats du Lycée.
En l'absence du Proviseur, réponse rapide de H. Demongeot : bons résultats au bac / Carnot reste un
très bon Lycée dijonnais / pour les classes prépa. : 3 fois plus de classes littéraires en 20 ans. Bons
résultats. De très belles réussites. 1 HEC Paris.
Après le traditionnel dépôt de gerbe au Monument, René Petit se fait le maître des lieux pour une
visite du Lycée, à l'image de ce qu'il fait pour les Journées du Patrimoine.
Un peu d'histoire en commençant par le petit Q(uartier) :construction d'un nouveau lycée pour compléter
le lycée Condorcet, c'est l'époque des lycées-casernes de Bonaparte (d'où les inscriptions comme
"escrime", "équitation" ...). L'architecte, Arthur Chaudouet, qui a déjà construit la gendarmerie voisine,

fera place à l'architecture métallique, nous sommes à l'époque de la Tour Eiffel. L'ouverture se fera en
1893 et les effectifs augmenteront régulièrement : les locaux prévus pour 1000 élèves, effectif atteint en
1933, en accueillent aujourd'hui 2500.
Nous passons par la cour des vélos où se situaient les bâtiments de la buanderie (n'oublions pas que les
élèves étaient en uniformes), les"bains de pieds", les douches ...
Nous arrivons à la "Cour d'exercices militaires" devenue depuis la Cour du Siècle, où s'est déroulé un
grand spectacle pour le centenaire qui a réuni 500 élèves. C'est là que furent aménagés un manège
transformé depuis en gymnase et une salle des cultes pour les élèves internes, devenue chapelle où se
retrouvaient les collés du dimanche matin ... sans doute pour le repentir ! Nous laissons de côté le grand
Q(uartier) que nous avions visité l'an dernier et où avaient été érigés des bâtiments plus éloignés, pour
la chimie par exemple (prudence!) ou l'infirmerie. La Cour d'honneur vit l'érection du monument après la
guerre de 14. L'annonce de l'armistice avait été faite aux élèves par le Proviseur par ces mots :
"Messieurs, vous êtes libres !".
Puis ce fut, en ces lieux, la traditionnelle photo de groupe suivie d'un vin d'honneur offert par
l'Association à une trentaine de participants avant le banquet annuel au restaurant Le Siècle, préparé
excellemment par le traiteur dijonnais Germain, histoire de nous donner le goût et l'envie de nous
retrouver en 2019 ...

DIJON VILLE SPORTIVE par Bernard DEPIERRE
DIJON, ville historique, ville d’art, ville de gastronomie certes, mais DIJON est une grande ville sportive.
Monsieur le Président, je vous remercie de m’avoir invité pour être l’intervenant de cette Assemblée
Générale des Anciens du lycée Carnot. Chers anciens, je vais essayer de vous analyser les quelque 50
dernières années de sport à DIJON.
J’ai eu à la fois la chance et l’honneur d’être, pendant 24 ans, élu à la ville de DIJON et, pendant 18 ans,

Adjoint aux Sports, à la jeunesse et à la politique de la Ville. Pendant cette longue période d’un demi-
siècle, j’ai été très engagé dans le sport, pour le sport. Cela reste à ce jour ma passion et mon engagement

au service des autres.
J’ai donc un regard et une analyse de DIJON Ville Sportive pendant cette longue période. Je suis
convaincu que mon analyse ne sera ni complète, ni totalement objective, car chacun peut avoir une
analyse et une interprétation différente de la mienne. Cependant, ayant vécu passionnément cette longue
période, je vais essayer d’identifier les principales caractéristiques du Sport à DIJON et son évolution
pendant un demi-siècle.
Il faut faire un peu d’histoire et se rappeler du niveau des installations il y a 40 ou 50 ans. DIJON ne
disposait en installations majeures que du Parc des Sports Gaston-Gérard pour les sports de plein air, du
vélodrome, des salles des Poussots, des Bourroches, des stades de plein air Les Poussots pour le football,
le stade Bourillot pour le rugby, les tennis du Parc des Sports, puis furent réalisés les trois piscines
municipales Grésilles, Fontaine d’Ouche, Carrousel.
Cette situation ne permettait pas un super développement du sport mais très vite le hand devint, avec le
CSLD, le sport roi à DIJON. En 1973, ce fut le titre de champions de France dans la salle des Poussots
très rudimentaire et exigüe et trois fois la place de finaliste en 78, 79 et 81. C’était l’époque des frères
SELLENET, des BORNOT, THIONNET, GEOFFROY, BOURGEOIS, GIRARD, DUTEMPS, DUTIN.
Le développement des sports de plein air au haut niveau ne fut pas très rapide faute de terrains de qualité
et éclairés pour l’entraînement.
La construction ambitieuse du Circuit de DIJON PRENOIS par F. CHAMBELLAND, inauguré en 1972,
permit d’accueillir cinq Grand Prix de F1 de France et un de Suisse, le dernier vainqueur étant Niki
LAUDA. Ce fut une période exceptionnelle pour le sport automobile, pour l’économie locale et pour la
promotion de DIJON.
Sans faire de procès d’intention à qui que ce soit, il faut reconnaître que les priorités jusqu’en 1975
n’étaient pas le sport, la ville ayant des urgences dans de nombreux domaines et notamment le logement.

J’ai vécu avec passion ce projet devenu réalité de la construction du Palais des Sports inauguré en 1977
par Robert POUJADE et mon prédécesseur adjoint Paul BOURY. Il est arrivé un peu tard pour le hand
mais il permit très vite au basket de s’y installer avec le hand.
Les réalisations d’espaces sportifs à cette époque se multiplièrent (Salles Epirey des Lentillères, Dunant à
Fontaine d’Ouche, Mazingue) pour répondre tant aux besoins des clubs que des scolaires. La salle des
Marmuzots fut construite pour la gymnastique et le club de PROVI GYM. Le vélodrome un peu malade
fut sauvé et rénové grâce à notre volonté. Personne n’a oublié les arrivées du Tour de France. Le
boulodrome, ouvert en 1988, un des plus grands de France, fut construit à côté du Palais des Sports. C’est
une de mes fiertés (boules lyonnaises et pétanque cohabitent). Merci au Ministre de l’époque Christian
BERGELIN.
Très vite se multiplièrent les terrains en herbe éclairés fournissant aux sports de plein air de bonnes
conditions. Une belle illustration postérieure fut le stade de la Fontaine d’Ouche, les espaces sportifs de
quartier de plus en plus nombreux permirent un développement des clubs : Salle Boisselot ; Centre sportif
de la Source ; petits gymnases de la Trémouille, de la rue de Mirande, et bien sûr la belle salle Jean-Marc
BOIVIN en l’honneur de l’alpiniste dijonnais. Pour tous ces équipements, je ne possède pas toutes les
dates de réalisation entre 1980 et 1990.
Le nombre d’associations sportives et de clubs ne cessa de progresser et bien sûr le nombre de licenciés.
La municipalité créa un service d’animateurs sportifs de grande qualité.
Cette période fut le vrai début de l’accueil de grands évènements sportifs, cela ne s’arrêta pas.
Nous avons accueilli deux fois, en plein été, les championnats de France de boules lyonnaises en
quadrettes avec les finales au Palais des Sports (un cadre exceptionnel dont on reparle encore).
La piste d’athlétisme ultra moderne du Parc des Sports tant attendue par le monde de l’athlétisme permet
l’organisation de grands évènements : championnats de France, meetings internationaux. Marie-José
PEREC y battra son record et Sergueï BUBKA améliorera son record du monde à la perche.
Malheureusement, il y a quelques années, en réalisant un stade dédié exclusivement au football, la piste
fût sacrifiée et détruite. Les athlètes se sont réfugiés sur une piste modeste en plein vent, construite sur le
campus universitaire.
Il faut aussi se souvenir que dans les années 95, le rugby, avec le Stade Dijonnais, fit une incursion au
plus haut niveau avec les très grands de ce sport : Béziers, Toulouse, Agen, Narbonne, Biarritz. Le Parc
des Sports fut son stade, Les Bourillots beaucoup trop petits et vieillots.
Le Palais des Sports eut l’honneur de très grands évènements : la coupe d’Europe tant en basket qu’en
hand féminin ; mais aussi Les Semaines des AS en basket, trois fois, réunissant les 4 ou 8 meilleures
équipes de PRO A de basket ; les championnats d’Europe de hand féminin. Ce Palais a accueilli à
plusieurs reprises les championnats de France de gymnastique qui furent de beaux succès, mais aussi les
championnats du Monde de judo juniors, France-Japon en karaté.
Le Palais des Sports était aussi, à cette époque, avant la construction du Zénith, la grande salle de
spectacles (variétés, Holiday on Ice ...).
Le vélodrome ne fut pas en reste avec de grandes compétitions sur piste, la venue des champions
olympiques TRENTIN, MORDON. Il a aussi servi de cadre aux finales des championnats de France de
pétanque.
DIJON a encore ses grands prix de boules lyonnaises, le National de pétanque accueillant les meilleurs
joueurs français et européens.
Non loin de DIJON, à DAROIS, se déroulèrent les championnats de France, puis du Monde, de voltige
aérienne.

La dynamique sportive ne cessa de se développer avec des résultats de nos sportifs exceptionnels : Jean-
Christophe SARNIN, vice-champion du Monde de 200 m brasse ; Christine GENIN, championne du

Monde de voltige aérienne.
A la patinoire, exigüe et vieillissante, le hockey sur glace connut de beaux succès en Ligue Magnus mais
a depuis disparu du haut niveau.
Le patinage de vitesse avec les champions, Mlle BOUVIER, FAUCONNET, CHATAIGNER a aussi son
heure de gloire. L’artistique et la danse eurent la chance d’avoir le couple MONIOTTE / LAVANCHY
vice-champions du monde.
N’oublions pas non plus les champions de canoë-kayak. La première base du lac fut construite vers 1995.
Près d’elle, les tennis du lac qui portent le nom du champion disparu trop tôt, Jérôme GOLMARD. Le lac
et son environnement, poumon vert de DIJON, reçut plusieurs fois les championnats de France de canoë
kayak, ceux de nage en eau libre, mais aussi les triathlons internationaux avec un dijonnais brillant, Gilles
REBOUL.

DIJON, la ville du créateur du dérailleur Henri JUY, a accueilli quelque 10 fois le Tour de France
cycliste. J’ai eu l’honneur pendant mes mandats de l’organiser six fois dont trois fois avec arrivée, contre
la montre et départ. Le cyclisme reste très actif avec le SCOD, le Critérium d’après Tour de France et le
cyclocross du 1er novembre. Malheureusement le Tour n’est pas revenu à Dijon depuis 19 ans.

Il ne faut pas oublier le Stade et la salle de l’ASPTT, à Saint Apollinaire, qui furent longtemps au plus
haut niveau, le temple du volley féminin disparu assez vite.
La BA 102 tant qu’elle existe apporte aussi à DIJON de nombreux évènements sportifs nationaux ou
internationaux.
Le tennis avec le TCD notamment eut aussi son heure de gloire en 1ère division.

Au niveau des équipements, ont été réalisés au cours des dernières années les salles Marion et
Chambelland, la piscine olympique, et le stade pour le DFCO avec plus de 50 millions de travaux.
Je pourrais vous faire part d’une foule d’histoires, de problèmes, d’anecdotes, autour des clubs ou
évènements. Je suis toujours très attaché au sport dijonnais et en particulier au Mondial de futsal de
l’ASPTT le weekend pascal et à beaucoup d’autres évènements.
Pour conclure ce trop long propos, je souhaite nous donner un descriptif de l’état du sport de haut niveau
à DIJON :
Le DFCO en Ligue 1 depuis 3 ans
La JDA en PRO A Jeep Elite et en Coupe d’Europe
Le CDB/JDA en Division 1 de hand féminin
Le DBHB en 2ème Division de hand masculin
Le Stade Dijon Côte d’Or en Fédérale 1 de rugby
Le DFCO féminin en 1ère Division

Dans les sports individuels avec compétitions d’équipes :
Le DUC en athlétisme masculin et féminin en 1ère et 2ème Division

Le judo avec l’Alliance Dijon Judo
La gymnastique féminine en 1ère Division
Le cyclisme avec le SCOD en 1ère Division

Un bon niveau en tennis avec le TCD, l’ASPTT, le DUC
Les clubs hippiques Etriers de Bourgogne, Bonvaux, Cercle Hippique, très compétitifs
Ce n’est qu’un aperçu pour vous convaincre que DIJON est une ville sportive. Tous ces clubs apportent
une promotion importante pour DIJON, une animation de tous les instants avec des agendas
« surbookés ».
Il manque un Palais des Sports, une patinoire, des salles de quartier à vocation scolaire sport civil.
PRENOIS reste un haut lieu d’animation quelque 200 jours par an.
Mon regret est d’avoir vu disparaître depuis 16 ou 17 ans la plupart des évènements internationaux et
nationaux. Au niveau des compensations, DIJON a accueilli plusieurs assemblées générales de
fédérations.
DIJON est une grande ville sportive, la densité de clubs de haut niveau est une problématique pour leur
survie car l’agglomération de 250 000 habitants a ses limites.
Le sport est un des meilleurs vecteurs de promotion. Il apporte cohésion sociale, représente un intérêt
économique énorme. Le sport est un excellent capital du Mieux Vivre Ensemble.
Qu’il soit collectif ou individuel, le sport permet aux sportifs de mesurer où ils sont, là où ils veulent aller.
Mon slogan : "1 euro dans le sport représente une économie de 100 euros dans le social, 1 000 euros dans la justice."

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